de Bernard Parmegiani (1976)
[Cantique électronique] – version ballet (49’27s)
pour bande magnétique et voix récitante [en direct ou enregistrée]
Décors de René Allio
1976, Auditorium Maurice Ravel (Opéra de Lyon, France)
Chorégraphie de Vittorio Biagi
N.B. : L’œuvre compte cinq versions, dont la première, retirée du catalogue (1973, 66’11s) et la version de référence révisée et remixée (61’20s) [ca. 1976] : dans les versions avec la voix enregistrée, la voix est celle Michel Hermon.
N.B. 2 : La Divine Comédie pour récitant (Michel Hermon) et bande fut présentée au complet (un article du Monde fait référence « à un jeu au synthétiseur souple et parfois improvisé ») le 30 janvier 1974. Bayle compose le Purgatoire (créé à Paris, Salle Récamier, en 1973) et Parmegiani compose l’Enfer (1ère version créée en 1973, retirée du catalogue ; version de référence, plus tardive, durant 61’20 » ; version ballet en 1976). Le Paradis n’a jamais été joué sans les deux autres œuvres et son enregistrement est retiré des catalogues par les deux compositeurs.
Le sous-titre « cantique électroacoustique » est utilisée (notamment dans le catalogue de François Bayle) pour désigner des œuvres électroacoustiques avec récitant (en direct ou enregistré), comme l’Apocalypse de Jean (« oratorio électronique », 1968/1969), de Pierre Henry ou la Tentation de Saint Antoine, de Michel Chion (« mélodrame concret », 1984).
Ressources
Document PDF : catalogue exhaustif de Bernard Parmegiani
Catalogue des œuvres de François Bayle