de Pierre Schaeffer & Pierre Henry (1951)
Premier opéra de musique concrète, en 13 numéros (54’30s) [16’31s conservées]
pour S M C T, un mime/récitant, un récitant/prédicant et bande magnétique (mono)
Musique concrète de Pierre Henry
« spatialisée avec le pupitre potentiométrique de relief inventé par Jacques Poullin »
avec la collaboration de Michèle Thierry
Livret et parties chantées de Pierre Schaeffer
6 juillet 1951, Théâtre de l’Empire, Paris (France)
N.B. : Le site de Pierre Henry fait (une seule) référence à des partitions de parties instrumentales (et des chants) jouées en direct « signalées perdues ». Dans son deuxième journal (éd. Seuil, 1952 : pp. 87-111), Schaeffer ne parle pas d’instruments d’orchestre, sinon, d’un côté, par analogie avec l' »orchestre concret », d’un autre, mentionnant le piano préparé (qui constitue matière sonore de prédilection d’Henry, au moins depuis le Concerto des Ambiguïtés, 1950). L’œuvre était présentée avec la Symphonie pour un homme seul : déjà la version de 1951 remaniée sur bande magnétique.
Ressources
Œuvre sur le site de Pierre Henry